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Cabaret schizophrène, humour carnassier : Dolorès frappe fort
« RIRE (pour en finir avec soi-même) » de Sara Selma Dolorès Dans un cabaret fantôme où brillent autant les paillettes que les blessures, Sara Selma Dolorès sabote le music-hall pour mieux libérer la parole. Entre satire politique, burlesque débridé et drôlerie corrosive, elle signe un acte de résistance où le rire décape jusqu’à l’os.  Dès l’ouverture, le spectateur est happé par une ambiance d’un autre temps : brume légère, escalier monumental, tapis noir, silhouettes élég
ruedutheatre
il y a 3 heures
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Pas de silence pour Le Silence de Claire Lagrange
La santé mentale a toujours été un sujet tabou. Peut-être un peu moins depuis la pandémie qui a frappé la planète entière, il y a cinq ans. C’est ce laps de temps qui a été nécessaire à Céline Delbecq pour écrire le texte, le mettre en voix et en espace. Parce que le sujet la touche de près, la comédienne se refuse de parler de jeu et privilégie un théâtre vrai, sans tricherie, sans hypocrisie.  La lauréate de nombreux prix littéraires (notamment Prix Charles Plisnier et Pri
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il y a 3 jours
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Célébration caricaturale de la vieillesse
« Beauséjour » - Compagnie Käfig - Palais des Beaux-Arts de Charleroi Présenté au Palais des Beaux-Arts de Charleroi, « Beauséjour » de Mourad Merzouki s’ouvre sur un décor de guinguette baigné par les derniers éclats d’une fête : guirlandes lumineuses, chaises éparses, feuilles mortes au sol. L’ambiance oscille entre soirée estivale et fin de cycle, métaphore du temps qui passe. En plateau, une troupe de jeunes danseurs surgit avec une énergie débordante, costumes rétro colo
ruedutheatre
23 nov.
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